Nous avons déjà vu l’importance des couleurs d’impression du code-barres, la matière sur laquelle on imprime, ainsi que la taille et l’emplacement du code-barres afin d’assurer une bonne lisibilité. Dans ce billet-ci, nous verrons les critères à prendre en compte pour que le code-barres soit net une fois imprimé.

Lisibilité = bonne impression

Si on a conçu l’emballage en tenant bien compte de tous les facteurs qui aident ou empêchent que le code-barres puisse être lu facilement, il reste que la qualité d’impression peut tout changer. Nous avons déjà évoqué les conséquences d’une mauvaise impression dans un billet d’avril 2012.

La façon la plus simple de s’assurer d’une impression de bonne qualité est de confier ses besoins à des experts. Un simple coup d’œil ne suffit pas toujours à juger de la qualité d’impression d’un code-barres. Il ne faut pas oublier que les codes-barres ne sont pas lus exclusivement à la caisse d’un magasin sur les produits de consommation. Les codes-barres utilisés à d’autres fins seront fort probablement lus par différents types d’appareils tout au long de la chaîne de production.

Dans tous les cas, voici quelques conseils.

  • Si vous décidez de confier le travail à des experts, choisissez un imprimeur de réputation qui maîtrise tout le processus. Il pourra s’occuper de la création du code, de la gestion de la vérification par un tiers, de l’impression et du contrôle qualité pendant le tirage.
  • Si vous avez de plus petites quantités à imprimer et que vous décider que faire vous-mêmes le travail, sachez qu’il existe des imprimantes d’étiquettes à code-barres et des logiciels d’impression professionnels qui permettent une impression haute résolution. Pour faire votre choix, optez pour un fournisseur qui connaît non seulement ces machines, mais aussi les appareils de lecture et leurs contraintes.
  • Si vous optez pour une imprimante thermique, vous constaterez que la qualité d’impression varie de 203 à 600 points par pouce (dpi). Le choix à faire dépend de votre usage. En général, plus petit le code sera imprimé, plus important le nombre de dpi devra être. Autrement, les lignes du code ne seront pas aussi précises, ce qui augmente les risques de mauvaise lecture.
  • Le GS1, une organisation de normes en matière de chaîne d’approvisionnement, recommande de soumettre à un vérificateur indépendant une épreuve du code-barres obtenu après impression ainsi qu’un échantillon du produit emballé final tel qu’il sera sur le lieu de vente. Le vérificateur pourra vous fournir un rapport de validation que vous pourrez remettre à vos clients, s’il y a lieu.

N’hésitez pas à consulter IMS pour toutes questions concernant les différentes étapes du processus, ainsi que pour des conseils sur le type d’impression à choisir.

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