Être bio et durable est une promesse faite aux consommateurs. Celui qui achète un produit bio le fait pour sa qualité et la promesse que ce produit soit fait dans le respect de l’environnement.

Il est donc logique que, si le produit est bio, son emballage doive aussi être respectueux de l’environnement aussi. C’est une question de cohérence, et il est important de respecter son engagement, il est important que le produit soit totalement bio.

Cela s’applique pour les yaourts comme on l’a déjà vu, mais aussi pour des produits comme le vin. À l’heure où les vins bios, natures ou biodynamiques sont de plus en plus recherchés et respectés, les étiquettes doivent elles aussi faire le pas vers la durabilité et une empreinte environnementale moindre.

Mais dans le domaine du vin, l’étiquette est une un argument de vente fort – c’est par son étiquette que le vin se démarque. Il est donc primordial que l’apparence de l’étiquette soit parfaite, parce que le produit tombe presque dans le domaine du luxe. C’est un produit noble, dispendieux. On l’offre ou on le partage avec des amis, on parle de sa fabrication. Le vin est une expérience et son étiquette doit retranscrire celle-ci et donner envie. Autrement dit, son étiquette, sa façade, doit être impeccable et originale.

Comment concilier cela avec les principes du développement durable? Comment faire une étiquette esthétique, efficace et en accord avec un produit bio?

Les producteurs de vin Ste. Michelle, dans l’état de Washington aux États-Unis ont décidé d’adopter une étiquette faite de PCW (déchet post-consommation pour postconsumer waste), d’un liner en PET recyclable et d’un revêtement qui comprend 60 % moins de plastique que les revêtements en polyéthylène.

Ainsi, leurs bouteilles de vin gardent une apparence attrayante, mais l’étiquette a une empreinte plus faible sur l’environnement!

À LIRE
ÉGALEMENT

À LIRE
ÉGALEMENT